Si les polluants organiques persistants ou (POPs) sont déjà soupçonnés de favoriser le cancer du sein, leur impact sur son agressivité est peu étudié. Une équipe de recherche de l’Inserm et d’Université de Paris, au sein du laboratoire « Toxicité environnementale, cibles thérapeutiques, signalisation cellulaire et biomarqueurs » a réalisé une étude préliminaire pour explorer l’hypothèse selon laquelle les POPs pourraient favoriser le développement des métastases. Lire l’article sur : https://www.francetvinfo.fr/sante/cancer/cancer-du-sein-certains-polluants-pourraient-favoriser-les-metastases_3671603.html